Table des matières
Comment faire pour être sûr de réussir ?
Réussir avec panache : fusionnez lucidité et optimisme ! Notre article percutant met en lumière l’art de faire face aux dangers objectifs tout en réduisant les risques. Les peurs subjectives, elles, ne feront que vous freiner. Apprenez à les apprivoiser, à les regarder droit dans les yeux pour déployer vos ailes vers le succès.
Vous rêvez d’une confiance en vous indestructible ? Ne ratez pas notre article inspirant qui vous dévoilera des astuces simples, mais puissantes, pour forger cette confiance inébranlable. Préparez-vous à vous élever vers de nouveaux horizons, car votre potentiel n’a pas de limites ! Allons découvrir :
- Comment faire pour concilier lucidité et optimisme ?
- Et les dangers, comment fait-on ?
- Alors, même pas peur ?
Pour surmonter ces peurs, il est suggéré de se demander si les risques paraissent sérieux face à une éventuelle fin proche. Steve Jobs a également partagé cette leçon de vie lors de son discours à Stanford.
Comment faire pour concilier lucidité et optimisme ?
Car, avoir un moral d’acier, une volonté à toute épreuve, ne veut pas dire que l’on se berce d’illusions ou que l’on nie les difficultés. C’est d’ailleurs la différence entre une personne téméraire (un peu tête brûlée) et une personne courageuse (qui va de l’avant malgré ses peurs) !
Soyez courageux : le courage ce n’est pas d’aller au-delà du danger mais au-delà de la peur du danger.
En effet, il y a deux choses à bien distinguer, et c’est essentiel quand on se préoccupe de la psychologie de l’entrepreneur : les dangers et les peurs.
D’abord il y a les dangers !
Ce sont les difficultés et imprévus qui devront être affrontés. On entend souvent dire qu’un entrepreneur est quelqu’un qui aime prendre des risques. Mais c’est complètement faux, un entrepreneur cherche toujours à réduire la prise de risque.
C’est pourquoi d’ailleurs, nous avons intitulé notre programme de formation pour entrepreneurs : « entreprendre sans risque ». Le risque doit être réduit, et il peut être réduit, et ce, de deux façons principales.
D’abord en se préparant techniquement à intégrer les connaissances et les compétences indispensables dans la pratique de ce métier à part entière. Ensuite, en anticipant toutes les bonnes questions à se poser pour mettre son projet sur les bons rails. Et ce n’est pas qu’une expression, c’est une image éclairante pour figurer la création d’entreprise : pensez à une énorme gare de triage dans laquelle des choix d’aiguillage au tout début vont conditionner des routes complètement différentes.
Et si vous avez bien posé vos objectifs, il n’y a pas 36 routes différentes pour y aller ! Or, il faut de la compétence d’entrepreneur pour voir clair dans l’enchevêtrement de rails du démarrage.
Même pas peur et sûr de réussir ?
Après les dangers, qui sont objectifs et que l’on peut maîtriser, il faut conjurer les peurs. Et les peurs ne concernent pas que les dangers… Eh oui ! Nous avons aussi des peurs qui nous concernent mais ne concernent pas le projet : peur d’être rejeté, peur d’être un imposteur, peur du jugement des autres, peur … de réussir aussi, car la réussite amène un changement de vie qu’il faut assumer.
Or ce sont plus ces peurs subjectives, que les dangers objectifs, qui risquent de nous limiter…
Aussi contenir ses peurs, les connaître, les apprivoiser, est indispensable pour réussir. Ce sont elles qui nous font douter. Et le doute paralyse. C’est tout le sens de « faire comme si on était sûr de réussir ce que l’on projette ». Mettre de côté ses peurs, pour se rendre compte qu’il n’y a pas de raison de ne pas y arriver si l’on s’y prend bien.
Vous allez me dire : plus facile de le dire que de le faire.
Eh bien, je vous donne un conseil très simple : pour faire fondre ses peurs, il faut les regarder en face, comme les rayons du soleil font fondre une motte de beurre !
Pour bien les regarder en face, et qu’elles ne vous échappent pas, écrivez ces peurs qui vous limitent. Pensez aux projets qui n’ont pas été lancés dans le passé, et pourquoi, pensez aux choses que vous avez réussies en vous étonnant vous-mêmes, et pourquoi, mettez en balance vos désirs et vos peurs, et voyez qui vous voulez voir gagner, …
Imaginez que vous alliez mourir dans trois mois ou dans un an, est-ce que ces risques vous paraissent sérieux ou inadéquats ?
Cela me fait penser au merveilleux discours de Steve Jobs à Stanford dans lequel il partage trois leçons de vie auxquelles il a été confronté, et la deuxième est l’annonce de son premier cancer : il n’y pas de peur qui tienne la route si on pense que le jour que l’on vit peut-être le dernier.
Une vidéo sélectionnée sur l’optimisme pour réfléchir :
Avec Eric-Jean Garcia – Professeur affilié en Leadership à Executive Education Sciences-Po Parisje v
Qu’en pensez-vous ? Est-ce que cela vous amène une idée ou une réaction à partager ?
Des livres qui peuvent vous inspirer sur ce sujet :
- S’organiser pour réussir ; DAVID ALLEN
- E-myth : le mythe de l’entrepreneur revisite : pourquoi la plupart des petites entreprises échouent et que faire pour réussir ; Michael E.Gerber
- Mes conseils pour réussir ; Jack Welch avec Suzy Welch
- Des exemples pour comprendre comment arrive un changement
- Tout savoir sur le plan de départ volontaire
2 commentaires sur “Faîtes comme si vous étiez sûr de réussir”
Très chère Antonella,
Vous détaillez ici à merveille l’aspect émotif de tout ce qu’un créateur d’entreprise peut ressentir lorsqu’il est sur le point de se lancer.
Votre description de la peur, de la manière de la surmonter et de la différencier du danger, où bien souvent il faut prendre des initiatives risquées, correspond bien à ce que je suis en train de vivre actuellement.
Merci pour cette “piqûre de rappel” ☺
Merci Cédric pour ce commentaire et ce moment de vérité 😉